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Ilyas El Omari de la Team Ahidar, le dynamo entrepreneurial

Dans le paysage politique de Bruxelles, Ilyas El Omari, un jeune marocain plein d’ambition, émerge comme une figure clave de la Team Ahidar. Connue pour être la deuxième force dans le panorama politique bruxellois, cette formation a marqué les esprits lors des récentes élections. Sous le label du parti lancé par Fouad Ahidar, ancien membre du Vooruit, la Team Ahidar a su capter l’attention avec un message revigorant d’entreprenariat et de jeunesse, incarné par El Omari , le « Bernard Tapie de Bruxelles ».

L’entrée remarquée de la Team Ahidar dans le débat politique bruxellois s’est concrétisée par l’obtention de trois sièges au parlement, s’érigeant comme la seconde force politique néerlandophone dans la capitale. Ces résultats en poche, Fouad Ahidar a été le premier à être accueilli par Elke Van den Brandt (Groen) pour discuter de la formation d’une majorité flamande bruxelloise. Toutefois, cette montée en puissance n’a pas manqué de susciter des remous et des critiques, parfois acerbes, notamment sur les positions du parti concernant certains dossiers sensibles. Je rappel que d’autres partis se sont aussi positionner sur les mêmes sujets.

Ilyas El Omari, au coeur de cette ascension, est bien plus qu’un jeune politique prometteur. Entrepreneur accompli, après avoir présidé le Conseil de la jeunesse dans la municipalité d’Ixelles, il a su diversifier ses activités, se lançant dans des entreprises variées, du secteur de la médecine au transport en passant par la restauration. Sa vision d’un Bruxelles mondial, nécessitant un renouveau constant, trouve un écho particulier au sein de la Team Ahidar et auprès d’une large base d’électeurs, marocains, arabes et belges.

L’attachement d’El Omari à l’identité et sa culture Belgo-Marocaine, allié à sa compétence, lui prédit un avenir politique prometteur. Néanmoins, la route vers le pouvoir est semée d’embûches, comme le démontre la controverse suscitée par le programme du parti, perçu par certains comme trop aligné sur des principes traditionnels. Face aux allégations, Fouad Ahidar réfute vigoureusement l’accusation, dénonçant un amalgame infondé et diffamatoire.

Ce conflit d’idées soulève une question plus large : le succès attire-t-il inévitablement la jalousie et la diffamation, spécialement lorsque des sujets sensibles comme l’islam sont impliqués ? La Team Ahidar, loin de se laisser démonter par ces attaques, continue de défendre ses valeurs et ses principes, convaincue que le débat et la diversité sont essentiels à la vitalité démocratique.

Le parcours d’Ilyas El Omari et de la Team Ahidar s’inscrit ainsi dans une dynamique de changement, illustrant la complexité du paysage politique bruxellois et la recherche incessante d’un équilibre entre tradition et modernité.

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